Organes: Poumon, type à petites cellules - Le promoteur: Boehringer Ingelheim Pharmaceuticals

Étude 1367.1 : étude de phase 1a-1b évaluant la sécurité et la tolérance du BI 894999 chez des patients ayant des tumeurs solides ou un lymphome diffus à grandes cellules B. Les tumeurs solides peuvent se développer dans n’importe quel tissu : peau, muqueuses, os, organes, etc. Ce sont les plus fréquentes puisqu’elles représentent 90 % des cancers humains. On distingue 2 types de tumeurs : les carcinomes, qui sont issus de cellules épithéliales (peau, muqueuses, glandes) (exemple : cancer du sein) et les sarcomes, moins fréquents, qui sont issus de cellules de tissu conjonctif (exemple : cancer des os). Le lymphome est un cancer du système lymphatique qui se développe quand une erreur survient au niveau de la fabrication des lymphocytes, conduisant à la production de cellules anormales. Le BI 894999 agit en bloquant la prolifération des cellules tumorales et en induisant leur mort. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et la tolérance du BI 9894999 chez des patients ayant des tumeurs solides ou un lymphome diffus à grandes cellules B. L’étude se déroulera en 2 étapes : Lors de la première étape, les patients ayant des tumeurs solides seront répartis en 2 groupes : Les patients du groupe 1A recevront du BI 894999 tous les jours. La dose du BI 894999 sera régulièrement augmentée afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à détermination de la dose maximale tolérée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients du groupe 1B recevront du BI 894999 tous les jours pendant 2 semaines. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines jusqu’à détermination de la dose maximale tolérée, progression de la maladie ou intolérance au traitement. Ensuite, les patients ayant un lymphome diffus à grandes cellules B recevront du BI 894999 à la dose et au schéma d’administration recommandés établis chez les patients ayant des tumeurs solides jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Lors de la deuxième étape, les patients seront répartis en 4 groupes selon leur pathologie. Tous les patients recevront du BI 894999 à la dose et au schéma d’administration recommandés établis lors de la première étape jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patients seront revus 30 jours après la fin du traitement à l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

1200.134 : Essai de phase 1 visant à déterminer la dose maximale tolérée de l’afatinib en association avec le trastuzumab administré toutes les 3 semaines, puis la tolérance de cette dose administrée avec le trastuzumab hebdomadaire, chez des patients ayant un cancer avancé ou métastatique avec surexpression de HER2. [Informations issues du site clinicaltrials.gov et traduites par l'INCa] [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est de déterminer la dose optimale à administrer puis d’évaluer la tolérance de l’afatinib en association avec le trastuzumab, chez des patients ayant un cancer avancé ou métastatique avec surexpression de HER2. Cet essai se déroulera en deux étapes. Lors de la première étape, plusieurs doses d’afatinib seront testées et la dose la plus adaptée sera déterminée. Les patients recevront des comprimés d’afatinib, tous les jours, à partir du deuxième jour et une perfusion de trastuzumab, le premier jour. L’association de traitement sera répétée toutes les trois semaines. Lors de la deuxième étape, les patients recevront des comprimés d’afatinib à la dose la plus adaptée précédemment déterminée, tous les jours à partir du deuxième jour, associé à une perfusion de trastuzumab, le premier jour. L’association de traitement sera répétée toutes les semaines. Une évaluation de la tumeur, des bilans sanguins et des électrocardiogrammes seront réalisés régulièrement au cours de l’essai jusqu’à un mois après la fin du traitement.

Essai clos aux inclusions

Étude 1129.224 : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la dose maximale tolérée du nintédanib plus docétaxel hebdomadaire chez des patients ayant un adénocarcinome du poumon localement avancé ou métastatique après l’échec d’une chimiothérapie de première ligne à base de platine. La chimiothérapie de première ligne pour les patients ayant un adénocarcinome de poumon localement avancé ou métastatique est à base de platine. Néanmoins, certains patients ont des échecs à cause des résistances ou des toxicités. Dans ces cas, une chimiothérapie de deuxième ligne est réalisée avec des médicaments comme le docétaxel, qui peut être utilisé seul ou en combinaison avec d’autres molécules. Le nintédanib permet de réduire la croissance et la propagation des cellules cancéreuses et de supprimer l’apport sanguin qui permet aux cellules cancéreuses de se développer. L’objectif de cette étude est d’évaluer la dose maximale tolérée du nintédanib associé au docétaxel hebdomadaire chez des patients ayant un adénocarcinome de poumon avancé localement ou métastatique après l’échec d’une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Le traitement de l’étude comprendra 4 niveaux : Niveau 0 : les patients recevront du nintédanib par voie orale (PO) à basse dose avec du docétaxel en perfusion IV. Niveau 1 : les patients recevront du nintédanib PO à dose intermédiaire avec du docétaxel IV. Niveau 2 : les patients recevront du nintédanib PO à dose élevée avec du docétaxel IV. Niveau 3 : les patients recevront du nintédanib PO à dose élevée en continu avec du docétaxel IV. Il s’agit d’une étude d’escalade de dose.

Essai ouvert aux inclusions

Étude 1129.224 : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la dose maximale tolérée du nintédanib plus docétaxel hebdomadaire chez des patients ayant un adénocarcinome du poumon localement avancé ou métastatique après l’échec d’une chimiothérapie de première ligne à base de platine. [essai clos aux inclusions] La chimiothérapie de première ligne pour les patients ayant un adénocarcinome de poumon localement avancé ou métastatique est à base de platine. Néanmoins, certains patients ont des échecs à cause des résistances ou des toxicités. Dans ces cas, une chimiothérapie de deuxième ligne est réalisée avec des médicaments comme le docétaxel, qui peut être utilisé seul ou en combinaison avec d’autres molécules. Le nintédanib permet de réduire la croissance et la propagation des cellules cancéreuses et de supprimer l’apport sanguin qui permet aux cellules cancéreuses de se développer. L’objectif de cette étude est d’évaluer la dose maximale tolérée du nintédanib associé au docétaxel hebdomadaire chez des patients ayant un adénocarcinome de poumon avancé localement ou métastatique après l’échec d’une chimiothérapie de première ligne à base de platine. Le traitement de l’étude comprendra 4 niveaux : Niveau 0 : les patients recevront du nintédanib par voie orale (PO) à basse dose avec du docétaxel en perfusion IV. Niveau 1 : les patients recevront du nintédanib PO à dose intermédiaire avec du docétaxel IV. Niveau 2 : les patients recevront du nintédanib PO à dose élevée avec du docétaxel IV. Niveau 3 : les patients recevront du nintédanib PO à dose élevée en continu avec du docétaxel IV. Il s’agit d’une étude d’escalade de dose.

Essai clos aux inclusions